Transmission sans conservsation |
Perte de données et solutions |
Test CRC |
Le fait de communiquer et de transmettre des informations est un élément essentiel de la vie quotidienne. Il y a de la communication quand on parle, lit ou écrit. Les cinq organes sensoriels (voir, entendre, sentir, toucher et goûter) forment la base de communication dans notre vie. En général, la communication est un échange d’informations. Il y en a deux: la communication bi-directionnelle (exemples: le dialogue, l’entretien au téléphone) où deux abonnés sont actifs, et la communication uni-directionnelle (exemples: le fait de lire ou écrire une lettre ou un livre, de regarder la télévision), où il n’y a qu’un seul abonné actif. Une exception est l’appareil radioéléctrique: c’est une communication ni bi- ni uni-directionnelle, comme on peut ou transmettre ou recevoir une information. On appelle cette façon de communiquer une communication demi-duplex.
Distribution
d'information:
Échange d'information:
Un Modèle mathématique pour la communication
Pour transmettre des informations à la radio, au téléphone ou à l’internet, il faut qu’on transmute les informations, parce que ces machines ne peuvent pas travailler avec des informations analogues, mais seulement avec des signes optiques ou des oscillations électriques, qui sont enregistrés de manière digitale.
L’expéditeur/ La source donne l’information (en langage x) à l’émetteur qui la code (en langage y) et la transmet au capteur. Celui-ci décode l’information et la donne (en langage x) au destinataire. Pour les codages, il faut toujours que l’expéditeur et le destinataire connaissent le codage. On parle alors du schéma des connections, de la transmission des informations et de la dégradation des connections.
1. Transmission sans conservation
A la transmission de différentes informations, il se présente souvent des difficultés: il y a des transmissions brouillées. Pendant un dialogue, il peut arriver que les paroles de l’autre personne soient difficiles à comprendre à cause de l’acoustique. A cause de la mentalité associative de l’homme, on peut compenser le défaut assez souvent, mais quand même, on donne libre champs à des conclusions erronées. D’autres exemples de médias naturels étaient/sont les signaux morse ou les signes de fumée chez les Indiens. C’est alors une communication, à laquelle les informations sont changées pour rendre possible la transmission.
La répétition d’une transmission, à cause d’un défaut, à l’aide d’un média naturel est «luxueuse», car on doit réitérer toute l’action. Pour faciliter la transmission et pour pouvoir en comprendre le sens plus tard aussi, on a essayé de conserver des informations.
2. Transmission avec conservation
En général, une conservation des informations est un écrit – manuscrit, imprimé sur papier, une bande sonore ou vidéo ou d’autres véhicules de données. En travaillant avec des renseignements conservés, on reçoit des informations plus univoques et on peut diminuer les difficultés de transmission. Des informations en état conservé s’appellent données. On en a besoin pour télécommuniquer. Des données sont des informations digitales, alors conservées statiquement et dynamiquement. C’est pourquoi il y a moins d’avaries – bruit parasite à la radio, par exemple – et en plus, on peut mieux reconnaître des adultérations .
Pour coder les données, on se sert du système binaire. On peut coder des chiffres, lettres, photos ou même des films. Mais les partenaires de communication doivent aussi tomber d’accord sur l’interprétation du bit 0 et 1.
On ne peut pas éviter totalement les erreurs de transmission, mais on peut les limiter par des mesures techniques.
3. Perte de données et solutions
La plupart des erreurs existe à cause d’influences externes ou de problèmes techniques chez l’expéditeur ou le destinataire. Les erreurs sont souvent soi-disant des «tourneurs de bits» (c’est à dire, 0 devient 1 et inversement). En plus, il existe des erreurs de renseignements entiers à cause des interférences de plusieurs transmissions se déroulant en même temps.
Pour diminuer ces problèmes, on transmet presque toujours des informations supplémentaires, qui ont pour but de sauvegarder la transmission. Cette information suppplémentaire s’appelle aussi la rédundance. De cette façon, le destinataire peut contrôler si l’information et la rédundance se correspondent. Si non, il peut demander à l’expéditeur de répéter la transmission. Le but, c’est d’envoyer le plus d’information d’usage possible, en ajoutant la rédundance la plus petite possible.
Le problème, c’est de se rendre compte qu’il y a une erreur.
Il y a deux procédés usuels de prémunition:
4. Vérification paritaire
Le test de parité est la possibilité la plus facile de protection, on n’a qu’à former la somme des chiffres du nombre binaire. Il est déterminé que si la somme des chiffres est impaire, la rédundance soit 1, et si c’est un nombre pair, la rédundance soit 0.
Exemple: 10111001/1 - information d’usage / rédundance
Si ces informations ne se correspondent pas / ne sont pas paritaires, il y a une erreur de transmission et on doit répéter le processus.
La proportion entre l’information d’usage et la rédundance est assez bonne, mais il n’existe qu’une prémunition assez petite, parce que le test ne discerne pas les tourneurs de bits et ne constate pas si plusieurs erreurs se compensent, afin que la somme des chiffres soit correcte bien que l’information ne soit pas la bonne.
5. Test CRC
Le test CRC (Cyclic Redundancy Check) est basé sur un procédé algébrique.
D’abord, il y a une valeur de base identique chez l’expéditeur et le destinataire (normalement un nombre binaire avec 16 ou 32 chiffres) qu’on appelle aussi un polynôme générateur. Pour recevoir la rédundance, on divise l’information par le polynôme générateur lui-même. Le reste de la division est la rédundance, qui a aussi la longueur du polynôme générateur.
Exemple:
Polynôme générateur: 1001
L’information: 10111001
Calcul: 10111001 : 1001 = 10100 reste 0101 (ou bien: 185 : 9 = 20 reste 5)
On transmet alors comme information d’usage / bits de contrôle CRC: 10111001 / 0101
Les informations sont partagées dans plusieurs paquets individuels, pour qu’on ne doive répéter que la transmission d’un seul paquet s’il y a une erreur. En cas que l’information et la rédundance ne se correspondent pas, il faut répéter la transmission. Le test reconnaît des tourneurs de bits pluraux et des transformations compliquées. C’est pourquoi c’est une bonne protection des informations, mais il faut un déploiement assez grand pour obtenir la rédundance.
Comme il y a tant de problèmes lors de la
transmission, la communication n’est pas facile. Il existe beaucoup de
différentes possibilités de transmettre des signaux, coder
les informations et d’obtenir la transmission correcte. Souvent, on combine
plusieurs méthodes. Mais l’expéditeur et le destinataire
doivent connaître le procédé pour interpréter
la transmission de la même façon.